Un mois ponctué par des installations de système à l'extérieur de la ville. Une semaine à Moncton, puis une autre à Ottawa. Il y en aura deux autres; Halifax en novembre et Orleans, près de Ottawa, probablement en début d'année.
A la maison, la fournaise a été remplacée, le contrat est donné pour la cheminée. Le toit et la brique attendront au printemps après quelques travaux d'hivernisation.
Et j'ai vieilli d'un an en une seule journée... le 17.
Difficile mois de septembre. C.P. avisée dès le début du mois qu'elle sera victime des compressions à Radio-Canada. La mise à pied sera officielle le 30 novembre et ses services ne seront pas requis dans l'intervalle.
Lors de l'entretien annuel de la fournaise, le technicien nous avise qu'elle a atteint la fin de sa vie utile. Nous la remplacerons dans les semaines qui viennent.
Il y a aussi le toit à refaire, la cheminée à restorer et le mur de briques à l'arrière de la maison à rebatir.
Vivement octobre et la fin des mauvaises nouvelles.
Le mois est terminé ainsi que nos vacances. Quelques jours à Belleterre, une semaine en République Dominicaine, des promenades dans les environs et soudainement septembre.
C et V nous sont revenus de France un samedi, après plusieurs semaines de dépaysement, pour commencer une nouvelle session le lundi suivant. F aussi a débuté une nouvelle session après un été sans vague. Il cherche maintenant à se procurer une voiture pour peu d'argent, de façon à réduire les temps de transit pour se rendre à l'école. Et S nous est revenu du Témiscamingue, en regrettant un peu de ne plus pouvoir fréquenter les jeunes campeuses près du lac, pour amorcer son cinquième secondaire.
On se retrouve de nouveau tous ensemble pour le souper, il ne me reste plus qu'à les préparer.
Bonne fête ma soeur
Un autre mois qui se termine marqué, finalement, par peu d'évènements.
Que ce soit S., F., C., ou CP, tous à leurs activités quotidiennes et rien qui ne soit à chroniquer.
Seul sursaut à la quotidienneté, la rencontre annuelle de mon équipe. Il y a eu Orlando en Floride, San Diego en Californie, pour l'édition de cet été nous étions de retour en Floride, à Saint-Petersburg. Une semaine ponctuée de de sessions d'information et d'orientation, de restaurants et de promenades sur les berges de la baie de Tampa à observer les dauphins. Le moment fort de cette semaine fut sans contredit l'atterissage avortée de notre avion coincé entre deux orages violents. La chute soudaine de l'appareil et la remise des gaz en a inquiété plus d'un.
Maintenant août et les vacances. Je me relance à la lecture d'un autre classique, après "Notre-Dame de Paris", "Crime et Châtiment".
F a obtenu le poste de sauveteur qu'il désirait, il est de retour à la piscine Elgar. Il préférait y retourner plutôt que de travailler au natatorium, c'est un peu plus loin mais c'est aussi plus petit et le groupe de sauveteur plus familier.
Après avoir réussi les examens de fin d'année, S nous a quitté pour Belleterre où il passera juillet à travailler pour sa tante. Peler des pommes de terre, remplir les réfrigérateurs et aider autant qu'il pourra sera son mandat.
Pour le reste que le train-train quotidien, si ce n'est que la semaine que j'ai passé à Edmonton pour l'installation de systèmes chez un client. Avec ce voyage en Alberta il ne me reste que 4 provinces où je n'ai pas mis les pieds.
Le mois s'est terminé et les rénovation achèvent. On se réinstalle tranquillement dans notre nouvelle cuisine. Il reste encore plusieurs détails à régler mais cette fin de semaine on pourra remplir les armoires ainsi que le garde-manger.
F, en congé pour l’été, s'est certifié de nouveau comme sauveteur national et attends l'ouverture des piscines municipales. Cette année il sera probablement en poste au natatorium de Verdun.
S maintenant sans les broches qu'il avait dans la bouche depuis septembre 2012 se prépare pour les examens de fin d’année.
C a complété deux sessions de cursus et a fait son entrée au bac pour la session d’été.
CP et moi avons survécu aux rénovations, il ne reste qu'à les payer.
Bonne fête mon frère
Bonne fête mon père
